27 avril 2009, 0h00
Partager
A quatre jours de la fin d’un ultimatum fixé par l’administration Obama, l’incertitude règne sur le sort du constructeur automobile Chrysler, qui n’a encore fait part d’aucun progrès pour éviter un dépôt de bilan dans ses négociations avec ses principaux partenaires. Aucun bruit ne filtrait de Detroit sur l’avancement des négociations avec créanciers et syndicats, non plus de Turin, siège du constructeur italien Fiat, dont l’offre de partenariat apparaît comme la meilleure planche de salut pour ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT