19 juin 2018, 22h22
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La Suisse aurait tout pour se trouver à la pointe mondiale de la médecine basée sur les données. L’exemple de Sophia Genetics montre cependant qu’il y est très difficile d’obtenir des expériences sur le terrain. Deux peurs puissantes sont à l’œuvre: la transmission de données sensibles au-delà du cercle de personnes autorisées, et le remplacement de l’être humain par la technologie. La première paraît pourtant au moins aussi maîtrisable qu’en ayant recours à des documents en papier: la transmiss...
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