Guy Mettan
Chroniqueur, journaliste indépendant
19 octobre 2006, 0h00
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L’assassinat d’Anna Politkovskaïa a fait ressortir du placard tous les vieux préjugés accumulés contre la Russie. On a donc vu quantité d’experts s’empresser de nous dire tout le mal qu’ils pensaient du régime dirigé par «l’ancien espion» Vladimir Poutine. Car c’est désormais à ce vocable qu’on reconnaît les antirusses primaires: pas besoin d’analyse politique puisqu’en trois mots on a discrédité le président russe et que toutes les nuances qu’on pourra apporter auront été annihilées par la seul...
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