10 février 2005, 0h00
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Les investisseurs ont pris l’habitude d’intégrer la Russie dans le groupe des BRICs aux côtés du Brésil, de l’Inde et de la Chine. Grands pays au potentiel économique énorme, ces Etats sont perçus comme les moteurs de la croissance de demain. Mais ce que ce bel acronyme ne rappelle pas, c’est que la construction de ces économies ne se fait pas sans cahots. La Russie est précisément en train d’en rencontrer un de taille, la facture de l’affaire Ioukos. Son prix est élevé, c’est une baisse prévisi...
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