25 novembre 2003, 0h00
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La prise du pouvoir en Géorgie par l’opposition est un coup dur pour Moscou. Le Kremlin craint que ces jeunes radicaux résolument pro-occidentaux ne s’efforcent d’amarrer plus fortement la république du Caucase aux Etats-Unis, avec à la clé des risques de nouvelle guerre civile. En démissionnant dimanche, le président Edouard Chevardnadzé a cédé sa place à Nino Bourdjanadzé, devenue chef de l’Etat par intérim. L’ex-présidente du Parlement, âgée de 39 ans, a aussitôt affirmé que l’objectif de la ...
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