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La restructuration de la dette argentine n’a pas la cote auprès des petits porteurs

Les investisseurs rechignent devant la modestie des sommes qu’ils peuvent espérer récupérer en apportant leurs titres, environ un tiers de ce qui leur est dû.

04 février 2005, 0h00
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Les investisseurs ne se bousculent pas au portillon pour apporter leurs titres à l’offre lancée par l’Argentine sur sa dette impayée, mais les autorités de Buenos Aires ont prévenu que les récalcitrants n’auront pas de seconde chance et risquaient de se retrouver avec des titres invendables sur les bras. Le président Nestor Kirchner a envoyé au Congrès un projet de loi interdisant le lancement d’une nouvelle offre sur la dette impayée, une fois que sera achevée l’actuelle restructuration, a ann...
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