08 mai 2000, 0h00
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La France et son partenaire obligé, le Royaume-Uni, ont beau présenter le redéploiement nucléaire comme l’alternative idéale au réchauffement global, les faits parlent d’eux-mêmes: aucun pays de l’Union européenne n’envisage la construction de nouvelles centrales. Le coût réel très élevé, dont les premiers chiffres commencent à sortir, l’incertitude qui pèse sur la gestion des déchets et la dérégulation du marché de l’électricité auraient raison de cette filière. Alors pourquoi maintenir une tel...
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