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La réforme des finances électorales va remettre un peu d’ordre

Mais les parlementaires ne renonceront pas à l’argent qui leur ouvre les portes de la télévision.

13 juillet 2001, 0h00
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La corruption légalisée qui permet d’acheter un processus électoral aux Etats-Unis s’appelle «soft money», l’argent mou, doux, moelleux, souple – bref, l’adjectif est parfait pour indiquer l’emploi qu’on peut en faire. Les chèques n’osent pas porter le nom d’un candidat, ils vont aux partis pour des activités générales. En réalité, la tactique consiste à transformer, par des caisses et des comités aux noms anodins, l’argent mou en argent dur, soit d’en faire profiter la campagne électorale indiv...
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