13 novembre 2001, 0h00
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La banque d’affaires Goldman Sachs lance un pavé dans la marre. Première à prévoir une croissance zéro pour la Suisse en 2002, elle appuie ses dires sur des arguments percutants qui nous ramènent aux amours de la classe politique, l’aviation. Contrairement aux études qui analysent les composantes du PIB, la consommation et l’investissement, Goldman Sachs adopte une approche sectorielle. Elle explique que si la Suisse a mieux résisté que l’Europe en ce début d’année, elle le doit à la modestie du...
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