05 décembre 2006, 0h00
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Avec les préparatifs voulus par le système, il est rare qu’un candidat rate son élection à la présidence du Conseil national et, du même coup, de l’Assemblée fédérales (les deux chambres réunies). C’est donc le nombre de voix qui fait la différence. Hier, Christine Egerszegi a fait fort, avec 159 voix sur 171 bulletins valables.
Ouverture du 2e pilier
La radicale argovienne succède au socialiste de Bâle-Campagne Claude Janiak et devient, pour un an, «première citoyenne» du pays. Le s...
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