18 mars 2004, 0h00
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Quand vous abordez le sujet du service après-vente, les horlogers haussent les épaules ou lèvent les yeux au ciel. Après un gros soupir, ils vous diront, la mort dans l’âme, que c’est un vrai problème et que, s’il ne les empêche pas dormir, il ne cesse de les tourmenter. Et d’ajouter que s’il est bien difficile de gérer cette question, c’est surtout dû aux détaillants. Quand, dans les marchés, vous interpellez un détaillant sur le service après-vente des marques qu’il représente, il va hausser l...
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