14 décembre 2011, 0h00
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Est-il justifié d'évaluer la propriété en vertu du même schéma que celui appliqué à toutes les autres classes de risque-rendement? La partie investie en actions doit-elle être considérée comme aussi interchangeable que toutes les autres composantes d'un portefeuille? Ou les actions méritent-elles un traitement particulier en vertu de cette qualité de «reflet de la propriété»; qui est la leur? Si oui, le cours, qui n'est que le reflet de cette interchangeabilité, consti- tue-t-il donc le seul cri...
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