17 janvier 2005, 0h00
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Si le marché se comporte comme les prévisionnistes l’annoncent, il devrait se montrer particulièrement favorable aux banques d’affaires. Et plus particulièrement encore aux grandes telles que Goldman Sachs, Morgan Stanley et JP Morgan, le trio de tête de l’an dernier. Jamais depuis le début de la décennie les circonstances n’ont paru aussi ouvertes à une explosion des fusions et des acquisitions d’entreprises, dont on sait qu’elles ne sauraient aboutir sans de puissants et habiles conseillers fi...
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