12 juillet 2001, 0h00
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Les économistes de l’UBS sont têtus. En dépit des modes, ils continuent, sous la direction d’Ernst Keller d’analyser les conséquences macroéconomiques et financières de la «nouvelle économie». Dans le huitième chapitre de ce travail, une étude publiée hier, ils s’attachent principalement à observer la convergence des gains de productivité du travail entre les Etats-Unis, l’Europe et le Japon. Et selon eux, le ralentissement en Europe devrait être moins marqué parce qu’il y a un retard européen d...
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