04 août 2005, 0h00
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Sonnée par l’annonce brutale de Téhéran de la reprise de ses activités de conversion de l’uranium, la diplomatie européenne voit se profiler avec inquiétude le spectre d’une crise internationale, qu’elle aura pourtant tout fait pour éviter.
Hier, à l’occasion de l’intronisation du nouveau président iranien Ahmadinejad, les initiatives se sont multipliées pour convaincre l’Iran de renoncer à réactiver le site d’Ispahan, consacré à la conversion de l’uranium, dernière étape avant son enrichisseme...
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