17 avril 2009, 0h00
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L’assemblée générale d’UBS a inspiré à la presse étrangère des commentaires acerbes. En particulier outre-Rhin. Quand ils ne questionnent pas la pertinence des nominations d’Oswald Grübel et de Kaspar Villiger, les commentateurs invitent les concurrents du géant bancaire suisse à tirer parti de son affaiblissement. Alors qu’il n’est pas possible, pour l’heure, de savoir si ses filiales étrangères subiront une crise de confiance aussi importante que celle qui mine le groupe zurichois sur le march...
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