28 mars 2008, 0h00
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La Poste française, entreprise publique poussée à jouer la concurrence européenne sur l’injonction de Bruxelles, est en train de muer: pour la première fois, grâce à ses bons résultats 2007, elle va verser un intéressement à ses salariés et un dividende à l’Etat.
Les résultats ont été «meilleurs que prévu», s’est félicité hier le président de La Poste, Jean-Paul Bailly, au cours d’une conférence de presse. Ces «progrès solides et durables» qui résultent d’un plan de modernisation (2003-2007) on...
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