10 février 2000, 0h00
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Une moitié des Suisses sont conscients que les dépenses allouées au domaine de la santé ne peuvent pas être illimitées. Mais, selon une étude, ils accordent peu de confiance aux politiciens lorsqu’il faut fixer des priorités sanitaires.
L’étude est due notamment à Gianfranco Domenighetti, chef de la santé publique du Tessin et enseignant aux Universités de Genève et de Lausanne. Elle se base sur un questionnaire envoyé à mille citoyens représentatifs de la population, à 250 administrateurs hospi...
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