17 avril 2007, 0h00
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Les vieux démons refont surface au Kremlin. Il semble même qu’ils n’ont jamais réellement disparu. La violence avec laquelle le pouvoir russe a réprimé les deux manifestations de ce week-end à Moscou et à Saint-Pétersbourg souligne à quel point la fébrilité s’est emparée des dirigeants au fur et à mesure que s’approchent les élections législatives, en décembre, et présidentielles, en mars prochain. La nervosité est palpable. D’autant que l’intelligence de l’ancien champion d’échecs Garry Kasparo...
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