28 juillet 2003, 0h00
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«On connaît la Vallée de Joux dans le monde entier, alors que les Suisses la connaissent si mal.» Cette petite phrase prononcée par Ruth Dreifuss lors d’une récente fête du 1er Mai au Sentier en dit suffisamment long sur le paradoxe de la région. Les horlogers installés sur les rives du lac de Joux s’efforcent depuis des siècles de colporter sur les cinq continents une tradition toute empreinte du génie micromécanique des lieux se traduisant par des garde-temps d’exception, alors que leurs compa...
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