20 juin 2008, 0h00
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Dans nos colonnes était révélé jeudi que Jacques Chirac n’avait jamais connu l’ennui. Mais, entre tous les maux dont il a souffert à la fin de son trop long règne, la paresse fut celui qui l’a le plus affaibli. Au moins la maladie, comme l’incident cérébral qui a failli le paralyser un an avant de quitter ses appartements de l’Elysée, aurait permis d’expliquer pourquoi, dans les dernières temps où il siégeait encore au sommet de l’Etat français, l’immobilisme l’a conduit dans un état second à la...
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