30 juillet 2004, 0h00
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La France vit une nouvelle révolution. Il était temps. Le pays a réalisé tout à la fois que la mondialisation a non seulement l’immense avantage d’apporter du travail dans des régions autrefois isolées et défavorisées mais aussi celui de rendre les conditions de travail plus équitables. Quelles que soient ses critiques à l’égard de Bosch, c’est très probablement ce que le premier ministre français Jean-Pierre Raffarin appelle, dans une Carte blanche publiée par le journal belge Le Sud du 20 juil...
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