09 mars 2004, 0h00
Partager
La Malaisie, qui fut l’un des marchés émergents les plus prisés, a été délaissée par les gestionnaires de fonds depuis des années. Ils étaient insatisfaits du contrôle des capitaux et du rattachement du taux de change au dollar instauré au plus fort de la crise asiatique de 1998. De fait, même le FMI, l’un des critiques les plus sévères de la politique financière de la Malaisie, a fini par reconnaître les vertus de la voie hétérodoxe qu’elle a empruntée. Ces mesures ont épargné à son économie le...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT