22 juin 2000, 0h00
Partager
La création d’emplois devrait supplanter leur conservation, les biens céder à la propriété intellectuelle, l’apprentissage de la vie compter davantage que celui d’un métier. En somme, tout ce qui est mauvais devrait s’effacer au profit de tout ce qui est bon. Seulement voilà, la nouvelle économie ne se résumerait pas à ces croyances naïves. C’est du moins l’avis de Klaus Wellershoff, chef économiste de l’UBS Warburg, qui a esquissé hier soir au Palais de Beaulieu une définition plus rigoureuse d...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT