10 janvier 2000, 0h00
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Le début d’année met en lumière les difficultés helvétiques à accepter le changement. L’événement de la rentrée politique a d’abord été l’interview de Lukas Mühlemann. Néolibéral, comme il est coutume d’étiqueter toute proposition de changement, permettant au pays de dynamiser son économie, le discours du CEO du CSG a permis une fois de plus aux médias politiquement corrects de souligner leur soif de statu quo. Au même moment, notre correspondant à Berne s’étonnait de l’incroyable réponse des se...
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