03 mai 2006, 0h00
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Damien STEFFAN
La nationalisation des hydrocarbures décidée lundi par la Bolivie, même si elle n’a pas le potentiel de déséquilibrer le marché, est un signal négatif pour celui-ci, marqué par le contexte géopolitique mondial très tendu, estiment des experts.
Le président bolivien Evo Morales a annoncé lundi que la société publique YPFB prendrait désormais le contrôle de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières, jusqu’à présent exploitées par 26 compagnies, dont des multination...
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