16 octobre 2000, 0h00
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Chacune de nos cellules, tout au long de son existence, possède un fabuleux pouvoir: celui de s’autodétruire en quelques heures. Et cette aptitude au suicide est vitale. Sans l’apoptose (qui désigne en grec la chute automnale des pétales ou des feuilles), l’embryon resterait une masse informe. La mort cellulaire joue un rôle essentiel dans la sculpture des métamorphoses successives de notre corps en devenir et dans l’auto-organisation de notre cerveau et notre système immunitaire, dans les suppo...
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