13 avril 2010, 0h00
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Depuis le tournant du nouveau millénaire, la part de l’horlogerie mécanique ne cesse de croître. Elle atteint désormais 71% de l’ensemble des exportations horlogères suisses, ressort-il d’une note de la banque Vontobel. Il y a dix ans, le quartz (analogique ou digital) représentait encore 52,4%. Et son importance va encore diminuer dans les années à venir, prédisent les spécialistes.
Malgré la présence de petits producteurs de mouvements mécaniques, comme Sellita, Swatch Group, via sa filiale...
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