13 janvier 2000, 0h00
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Depuis l’automne 1999 se déroule, à Bâle, une exposition pas comme les autres. Fruit des recherches d’un savant allemand, une quarantaine de cadavres, conservés grâce à de révolutionnaires techniques de plastification et révélant viscères et muscles, sont exhibés à un public accourus en masse. Malgré son intérêt scientifique évident, cette exposition interpelle.
Durant ces dernières décennies, le rapport à la vie et à la mort a changé. Dans l’effervescence anti-tabous, dans une vraie passion de ...
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