16 décembre 2011, 0h00
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Du chef de l'Etat au Premier ministre, en passant par le ministre des Affaires étrangères, l'exécutif était plus que jamais sur le pont pour tenter hier de déminer les effets d'un éventuel abaissement du précieux «triple A»; de la France. Une dégradation que certains considèrent comme imminent.Depuis Sao Paulo, au Brésil, François Fillon a jugé probable que la France subisse de nouvelles «secousses»;. «Ce qui importe n'est pas le jugement d'un jour des agences de notation, mais la trajectoire po...
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