31 juillet 2008, 0h00
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L’histoire repasse les plats. Et Richemont pourrait trouver le menu un peu réchauffé. L’accord passé avec Carlos Dias, directeur et actionnaire majoritaire de Roger Dubuis, n’attendait plus que la décision d’Akram Aljord, actionnaire minoritaire. Car, étant au bénéfice d’un pacte d’actionnaires, la résolution de ce nouvel épisode de la saga de la manufacture de Meyrin lui appartenait (lire «L’Agefi» du 18 septembre 2007, du 1er février et 26 mars 2008). Avec, au choix, la possibilité de reprendr...
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