18 mai 2001, 0h00
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Il y a un peu plus de 2 ans, le gouvernement de Malaisie peinait à sortir de la crise financière engendrée en juillet 1997 par la débâcle de la devise thaïlandaise. Il prit alors deux mesures drastiques visant au contrôle des mouvements de capitaux, à savoir l’institution d’une taxe de 10% sur les capitaux étrangers rapatriés après moins d’une année et un strict rattachement du cours du ringgit (la monnaie malaise) au dollar américain.
Ces deux mesures s’épaulaient car les capitaux étrangers pri...
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