19 juin 2002, 0h00
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C’est une grande salle lumineuse au siège des Forces Motrices Bernoises (FMB), Viktoriaplatz à Berne. Les gens sont reliés, tous ordinateurs allumés, aux places boursières de Leipzig, d’Amsterdam, de Paris et de Madrid. Tous les jours, les entreprises européennes de négoce d’électricité font leur marché, concluent leurs transactions. Pour les employés du groupe bernois, acheter et vendre signifie, selon les mots de Martin Pfisterer, membre de la direction des FMB, «mieux gérer ce que nous avons ...
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