17 janvier 2005, 0h00
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La loi, c’est la loi. Quand elle n’est pas respectée, il n’y a pas grand-chose à espérer de l’Etat de droit. L’arbitraire s’installe. Mais la loi, parfois, crée des situations absurdes parce que, par définition, elle ne prend pas en compte les exceptions. Ainsi en va-t-il de la législation sur l’asile. La photo explose en page une du «Matin» de samedi dernier: le syndic de Lausanne Daniel Brélaz fait barrage de son corps impressionnant devant une requérante d’asile kosovare, Sabrie Ibelli, 29 an...
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