05 décembre 2005, 0h00
Partager
Thomas Steinemann, responsable de la stratégie chez Vontobel à Zurich, pense avoir trouvé la principale clé de l’envol des actions des sociétés secondaires sur le marché suisse depuis de nombreux mois. «Il n’est pas dû uniquement à la pression exercée sur les valorisations par les OPA, ni par la méfiance suscitée par les comptes des grandes sociétés, ni par un éventuel effet cyclique, ni même par un inévitable effet de mode. Il est dû en premier lieu à l’impact favorable exercé par l’abondante l...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT