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La Ligue arabe fait étalage de toutes ses divisions à Alger

Les résolutions finales devraient porter au mieux sur la création d’un Parlement arabe, sans députés élus. Une coquille vide.

23 mars 2005, 0h00
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Neuf chefs d’Etat sur vingt-deux ont évité le déplacement au sommet de la Ligue arabe qui s’est ouvert hier à Alger. La plupart des émirats du Golfe n’étaient pas représentés, ni le président libanais, Emile Lahoud, trop occupé par ses problèmes intérieurs. Abdallah de Jordanie, quant à lui, avait prétexté un «rendez-vous avec des investisseurs américains» pris depuis longtemps. La véritable raison de sa bouderie était, bien entendu, le rejet de son plan de paix avec Israël, une «amélioration» d...
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