07 juin 2005, 0h00
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En Hongrie, les salaires ont tellement augmenté ces dernières années qu’ils ne sont plus du tout compétitifs. Janos Koka a presque l’air de s’en réjouir: «C’était une situation anormale, artificielle. Nous ne sommes pas un pays à bas salaires. Nous valons mieux que ça. Nous sommes un pays de cerveaux.» A entendre ce multimillionnaire de 32 ans propulsé ministre de l’Economie, on en oublierait presque les maux grandissants du pays. Les finances publiques de la Hongrie sont à ce point dégradées qu...
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