02 juillet 2004, 0h00
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Il y a une semaine, Siemens provoquait un coup de tonnerre dans le paysage syndical allemand, en obtenant à l’arraché un retour aux 40 heures de travail hebdomadaire sur deux de ses sites de production, faute de quoi le groupe menaçait de délocaliser 2000 poste de travail en Hongrie. Si le géant de l’électronique est fortement implanté à l’Est depuis plus de dix ans, la menace de transférer des activités supplémentaire vers des pays à bas salaire est néanmoins symptomatique de la nouvelle donne,...
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