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La guerre du pouvoir perdue par Steve Jobs

S’il est devenu le président le plus admiré au monde, l’épopée de Steve Jobs a souvent été tortueuse. Obstiné, têtu, sûr de son fait, il a souvent navigué à contre-courant, imposé ses vues malgré les résistances du conseil d’administration d’Apple. Pourtant, s'il était doté d'une vision de génie, Jobs pouvait parfois aussi se tromper: c'est lui-même qui a failli couler Apple après avoir lancé le Macintosh en imposant des choix techniques incohérents! Il en est ainsi: le plus grand génie de l'informatique a longtemps été désavantagé par ses propres excès, ses propres lubies. «Les 4 vies de Steve Jobs» révèle la lente mutation et dévoile mille facettes inattendues de l’artiste qui dirigeait Apple. Sa quête de l’illumination en Inde. Son refus initial de reconnaître la paternité de sa fille Lisa. La quête de sa mère biologique qui l’a abandonné à sa naissance. Son combat acharné pour équiper les écoles d’ordinateurs. Sa vaine tentative de soigner son cancer par un régime alimentaire. Extraits.

28 octobre 2011, 0h00
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En cette fin d'année 1984, le CEO John Sculley a découvert que Jobs avait imposé des choix techniques incohérents pour Macintosh et que ceux-ci sont en partie responsables des méventes de l'ordinateur.Le fondateur d'Apple a insisté pour que le Mac ne comporte que 128 Ko de mémoire – 4 fois moins que l'IBM PC. Devant l'obstination du visionnaire, Burrell Smith a choisi secrètement de réaliser une carte mère dont la m&eacu...
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