16 février 2012, 0h00
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La décision de la zone euro de reporter une nouvelle fois son feu vert à l'octroi d'une aide vitale à la Grèce a provoqué le dépit du gouvernement grec, qui y voit le signe que certains de ses partenaires veulent se débarrasser d'Athènes, même s'il a assuré qu'il se conformerait scrupuleusement à leurs exigences. «Il faut dire la vérité au peuple grec, il y a plusieurs pays qui ne veulent plus de nous. Et il faut les convaincre»; que la Grèce peut «réussir»; à y rester «pour les prochaines génér...
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