19 octobre 2009, 0h00
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Dans le débat cacophonique sur la «bonne gouvernance fiscale» qui sème actuellement la zizanie au sein de l’Union européenne (les ministres des Finances des Vingt-Sept en fourniront demain la preuve), la Suisse est dans la position d’un chien au milieu d’un jeu de quilles. Elle compte les coups de boule, pour le moment, mais elle risque d’en recevoir un ou plusieurs.
On a beaucoup glosé sur l’union sacrée que Berne et Luxembourg avaient formée au début de 2009 pour sauver ce qui pouvait l’être ...
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