24 novembre 2009, 0h00
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sébastien ruche
La Conférence de Copenhague doit fixer des orientations chiffrées assorties de délais précis et d’engagements fermes. A défaut, le monde des affaires sera le premier perdant. La profession de foi émane de Connie Hedegaard, l’énergique ministre danoise du Climat et de l’Energie et future présidente de la Conférence de Copenhague, qui débute le 7 décembre. Reconnaissant qu’un traité contraignant ne serait peut-être pas conclu d’ici au 18 décembre, Connie Hedegaard a réaffirmé le...
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