14 janvier 2000, 0h00
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Pour justifier sa décision, qui a logiquement irrité les industriels, la banque centrale britannique a expliqué que la force de la demande allait pousser l’inflation au-dessus de l’objectif officiel d’un taux en glissement annuel de 2,5%.
Ce resserrement monétaire, le troisième en cinq mois, était attendu par les économistes et les investisseurs. Les marchés ont donc peu réagi, hormis un léger affaiblissement de la livre face au dollar.
«Les perspectives de croissance de la demande interne reste...
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