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La gestion optionnelle s’apparente à l’obligataire

En lisant vos articles, je m’aperçois que, suivant les réponses aux questions posées, vous traitez les options parfois sur de courtes distances, et d’autres fois sur de longues distances. En constatant que certains gros titres offrent des dividendes entre deux et quatre pourcents, peut-on imaginer qu’en possédant ou en achetant ces titres et en vendant des calls plutôt longs, cette technique s’apparenterait à une gestion de dossier obligataire?

31 janvier 2011, 0h00
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Effectivement, vous confirmez ce qui est une évidence. Les trois éléments essentiels à cette gestion sont, après l'achat ou la possession d'un titre, le dividende annuel présumé, le prix du call vendu et la marge entre le prix de l'action et le prix de base (strike) choisi. Ne sachant pas quel sera le prix de l'action à l'échéance, ce dernier point est évidemment le moins précis.Prenons un exemple avec l'action Novartis qui cote 53,15 francs. Le dividende de l'an passé s'élevait à 2,10 francs et...
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