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La gestion indicielle présente un fort potentiel en Suisse

Malgré quelques préjugés encore tenaces, la gestion passive «améliorée» s’impose progressivement.

16 juin 2006, 0h00
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Stève Honsberger La guerre de religion entre gestions active et passive (indicielle) est peut-être en train de s’estomper avec l’essor de solutions de synthèse. Une perspective en termes de complémentarité est en effet en train de s’imposer par différentes approches, notamment celles de type «core/satellite» ou «enhanced». Cette thématique a été approfondie jeudi, lors d’une conférence organisée par Lusenti Partners à Genève. En Suisse, la gestion indicielle présente encore un fort potentiel...
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