07 octobre 2010, 0h00
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Les applications suisse (Swiss Finish) en matière de régulation bancaire peuvent paraître sévères de prime abord. Mais elles ne vont pas assez loin pour corriger les biais structurels du cadre réglementaire, selon Beat Wittmann, CEO de Dynapartners. Ces défauts résident moins dans le Swiss Finish détaillé lundi dernier par la commission Siegenthaler, la Finma et la BNS que dans l'approche sous-jacente de Bâle III elle-même. Laquelle ne change, en effet, pas grandement le système actuel des exige...
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