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La gauche italienne peut parier sur un gouvernement Prodi bis

Personne, dans la classe politique, ne semble vouloir repartir à la bataille, neuf mois seulement après les dernières législatives.

23 février 2007, 0h00
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Pour trouver une issue à la crise ouverte par la démission de Romano Prodi, après le vote négatif du Sénat sur les orientations de la politique étrangère de son gouvernement, le président italien Giorgio Napolitano a, hier, mené ses premières consultations. Il a écouté les présidents des deux Chambres, les chefs des groupes parlementaires, et devrait poursuivre aujourd’hui en recevant, notamment, l’ancien président du Conseil, Silvio Berlusconi. Plusieurs options sont possibles mais la plus vra...
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