26 septembre 2007, 0h00
Partager
Le Liban se prépare à une élection présidentielle qu’aucune de ses factions rivales – en fait, qu’aucune des parties rivales de cette partie du monde – ne peut se permettre de perdre.
A commencer par la Syrie. En 2005, le régime du président Bachar el-Assad a été contraint de retirer son armée du Liban, à la suite de l’assassinat de l’ancien premier ministre Rafiq Hariri. La Syrie est largement accusée de ce crime, et les pressions internationales et libanaises ont contribué au retrait des trou...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT