28 février 2006, 0h00
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Il faut toujours se méfier des premières impressions. Ce week-end, on aura entendu tout et son contraire à propos de la fusion entre la société privée Suez avec l’entreprise maintenant en mains publiques Gaz de France en vue de créer le deuxième groupe européen d’électricité et de gaz. D’un côté, on crie à l’improvisation et à la précipitation tandis que, de l’autre, on vante le patriotisme économique pour défendre un projet qui verra l’émergence d’un nouveau géant énergétique par «fusion absorp...
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