28 août 2007, 0h00
Partager
Dans son premier discours définissant la politique étrangère de son pays, Nicolas Sarkozy a allègrement sauté par-dessus l’obstacle du blabla dont on nous a trop souvent abreuvés à propos d’un nécessaire dialogue entre civilisations. Sans pourtant endosser la thèse du choc des civilisations et tout en soulignant que le monde musulman et le monde occidental sont également menacés par le terrorisme. Plus habilement encore, il a suggéré qu’être faible devant Al-Qaïda conduirait à ce monde homogénéi...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT